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L’AOTA s’oppose à la fin des forfaits internet illimités

Dans une récente communication, le Conseil national du numérique (CNN) a formulé plusieurs propositions pour « réduire l’empreinte carbone » du numérique parmi lesquelles une hypothétique « fin » de l’accès internet illimité tel que nous le connaissons et le vendons au quotidien aux particuliers comme aux acteurs économiques et publiques.

Le numérique est une chance et le développement des usages puis des services qui en découlent également. La France est l’un des pays les mieux connectés du monde avec des coûts accessibles pour tous, grâce aux efforts générés par une régulation qui privilégie la compétition entre acteurs des infrastructures plutôt que la domination de quelques gros acteurs.

La crise sanitaire liée au Covid19 a démontré à quel point l’accès au Très Haut Débit sans limitations était essentiel pour le quotidien de nombreuses personnes et structures.

L’AOTA s’oppose fermement à toute remise en question de ce principe qu’est la fourniture d’accès internet sans aucune limitation dans le trafic consommé.

Les acteurs membres de l’AOTA invitent par ailleurs les membres du CNNum a diffusé un avis en ayant au préalable consultés ceux qui construisent, développent, et maintiennent des infrastructures internet en France : les opérateurs et hébergeurs incluant les gestionnaires de data centers dont l’optimisation de l’empreinte environnementale est devenu une partie intégrante de l’activité.

Trop de fausses informations ou études approximatives circulent depuis tant d’années quant à la prétendue surconsommation d’énergie par les acteurs du numérique sans jamais prendre en compte et mesurer réellement le « parcours des données ».

L’AOTA invite les parties concernées par ces enjeux à initier des travaux communs pour mesurer réellement l’impact du « parcours des données » allant de l’utilisateur final (ce qui va inclure sa box opérateur et le matériel annexe, les équipements du réseau d’accès, de transmission et de coeur de réseau de l’opérateur, les équipements du ou des réseaux traversés) jusqu’à l’hébergeur des contenus/services (ce qui intègre ses serveurs, switchs, routeurs et autres équipements permettant de maintenir l’infrastructure opérationnelle).

La mesure de l’impact environnemental des réseaux et du numérique est un défi immense car chaque « chemin d’accès » vers les données (contenus, applicatifs, etc) est différent. Un internaute de Dauphin Télécoms (adhérent AOTA, ndlr) n’accédera pas de la même façon à une vidéo hébergée par Youtube ou Netflix, qu’un internaute de Izzycom (adhérent AOTA, ndlr) ou de Free (non-adhérent AOTA).

De même, les choix techniques des acteurs de la chaîne technique qui compose internet, au sein même d’un pays, sont différents en terme de matériels et de logiciels.

C’est pourquoi l’association invite les pouvoirs publics français et européens à ne pas prendre en compte hâtivement toute étude fantaisiste qui n’utiliserait pas les bonnes métriques pour permettre de prendre les bonnes décisions.

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